Se libérer pour mieux s’enraciner
« Ce qui ne parvient pas à la conscience
revient sous forme de destin. »
Carl Gustav JUNG
La psychogénéalogie nous invite à nous pencher sur la saga familiale dont nous sommes issus pour en comprendre les messages et injonctions transmis aux générations suivantes.
On l’appelle aussi la thérapie transgénérationnelle.
Ma pratique thérapeutique a commencé avec l’étude de vos arbres généalogiques et elle s’étend maintenant à une approche centrée sur vos ressentis corporels.
En décodant le langage des ressentis pendant la consultation, nous avons accès aux chocs du passé et nous sommes en capacité de les traiter, de transformer l’histoire…une histoire qui ne nous appartient pas.
Aujourd’hui, je m’appuie sur vos objectifs de santé et vos symptômes pour démasquer leur origine qui se trouve parfois chez nos ancêtres, parfois en vie foetale, parfois dans votre enfance. C’est votre corps qui nous guide et nous délivre le sens caché de votre histoire…

Cela fait partie de mon histoire mais ce n’est pas MON histoire !
Nos ancêtres ont mis en place des comportements pour éviter de revivre les événements douloureux de leur vie.
Ils en ont tiré des leçons et ont générés de nouvelles croyances sur soi, les autres, les relations, le monde, la vie…
Ces croyances sont devenues des icebergs émotionnels dont la descendance hérite par le jeu subtil de l’ADN et de l’éducation. Cet héritage peut devenir nuisible à notre évolution car il n’est plus en adéquation avec notre époque et nos choix de vie actuels.
Les souffrances vécues par nos ascendants peuvent exister en nous sous forme de blocages, de peurs, d’obsessions, de maladies qui nous empêchent de vivre sereinement notre présent et d’avancer en confiance vers notre avenir.
Nous sommes issus d’un brassage génétique et nous héritons de certains aspects et non de tout ! L’intelligence de notre biologie nous permet de dépasser ces parts identitaires puisqu’elle a cette capacité de s’adapter au changement si celui-ci apporte le retour à la paix intérieur.